Ephestia unicolorella woodiella Richards & Thomson, 1932
publication ID |
https://doi.org/ 10.5169/seals-986047 |
DOI |
https://doi.org/10.5281/zenodo.8057497 |
persistent identifier |
https://treatment.plazi.org/id/03B8CE68-616D-FFCE-FF64-67F8FB99F944 |
treatment provided by |
Carolina |
scientific name |
Ephestia unicolorella woodiella Richards & Thomson, 1932 |
status |
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Ephestia unicolorella woodiella Richards & Thomson, 1932
La première mention documentée de l’espèce dans le canton est basée sur ma capture d’une femelle que j’ai disséquée et dont les données de capture sont les suivantes: Genève, Jardin Botanique, 3.6.2011, MVL + Gooden, leg. Landry, Pastore & Baumgart .
L’espèce n’est pas mentionnée de Suisse (SwissLepTeam 2010), mais il est presque certain que toutes les mentions suisses d’ Ephestia parasitella Staudinger, 1859 font plutôt référence à cette espèce (A. Kopp, comm. pers.). En effet, ces deux espèces ont longtemps été confondues, par exemple dans Slamka (1997), jusqu’à ce que Leraut (2002) clarifie les différences entre les deux espèces. Huertas Dionisio (2007) permet également de mieux différencier ces taxons. Ephestia parasitella , décrite d’Espagne et plus méridionale, avait été citée par de Bros et al. (1997) comme étant présente en plaine dans le Bassin genevois, mais j’avais estimé qu’il s’agissait sans doute d’une erreur de détermination et je l’avais exclue de la liste ( Landry 2012). De plus, aucun spécimen d’ Ephestia parasitella (ou unicolorella ) au MHNG ne portait une étiquette de localité provenant du canton de Genève, ni d’une autre localité de la région, d’ailleurs.
No known copyright restrictions apply. See Agosti, D., Egloff, W., 2009. Taxonomic information exchange and copyright: the Plazi approach. BMC Research Notes 2009, 2:53 for further explanation.
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