Pauropygus caussaneli ( Thibaud, 1996 )

Thibaud, J. M., 2020, Les Collemboles des sables littoraux de la côte Ouest de Madagascar, plus spécialement ceux d’une plage de Mahajanga, Russian Entomological Journal 29 (1), pp. 1-5 : 3-4

Pauropygus caussaneli ( Thibaud, 1996)

MATERIEL ETUDIE. Mahajanga. Sts. 3–4, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 16, 17. (cf. tableau page 4). — Tuléar: 20 km au sud, sable de la plage de Sarodrano: 3 ex. et 30 km au nord, sable de la plage d’Ifaty: 2 ex.

Espèce décrite de Mauritanie, retrouvée en Afrique du Sud [ Barra, 1997], au Sénégal, au Maroc, à Madagascar [ Thibaud, 2008a], à Maurice [ Thibaud, 2008b], à Mayotte [ Thibaud, 2010b], à la Grande Comore [ Thibaud, 2012] et à Rodrigues-Maurice [ Thibaud, 2017].

Espèce psammobionte, assez commune à Madagascar où elle est connue de plages à Mahajanga, Tuléar, Fort Dauphin , île Ste-Marie, Vohémar, Sambava, Antalaha et une entre Foulpointe et Tamatave.

Genre Psammisotoma Greenslade et Deharveng, 1986 Psammisotoma kingae Greenslade et Deharveng, 1986

MATERIEL ETUDIE. Mahajanga. St. 1: 7 ex, 2, 3–4, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 16. (cf. tableau page 4).

Espèce décrite d’Australie, retrouvée en Papouasie-Nouvelle-Guinée, en Indonésie, en Nouvelle-Calédonie, au Sénégal et à Madagascar [ Thibaud, 2008a].

Espèce psammobionte, intertidale et supralittorale, assez rare. A Madagascar elle est connue de plages à Mahajanga, Fort Dauphin et île Ste-Marie.

Table. Données sur la variation du peuplement en Collemboles d’une plage de Mahajanga (pendant 13 ans: 2006–2018). Таблица. Данные по иЗменчивости населениЯ коллембол плЯжа у Махажанги в течение 13 лет (2006–2018). Signalons que les travaux de confection d’une digue pour protéger la côte et le Village Touristique à 3 km au nord de la ville de Mahajanga en 2016–2017, ont fait disparaitre la station située au centre de la plage du Village Touristique pendant un certain temps. Celle-ci très bouleversée, s’est un peu reconstituée en 2018, avec quelques touffes éparses de végétation. Par contre, la plage en face de l’hôtel « chez Karon » n’a été que peu touchée et la végétation a été, en partie, préservée.