Oenopia conglobata (Linnaeus, 1758)
publication ID |
https://doi.org/ 10.5281/zenodo.13258444 |
publication LSID |
lsid:zoobank.org:pub:22DF5AAF-F2FF-4095-A735-2BD381645263 |
persistent identifier |
https://treatment.plazi.org/id/03DE1860-FF84-9A23-6CEE-4B9DFC68F99A |
treatment provided by |
Felipe |
scientific name |
Oenopia conglobata (Linnaeus, 1758) |
status |
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Oenopia conglobata (Linnaeus, 1758) – Coccinelle rose
Figs 34 View Fig , 35 View Fig
Belgique – Hainaut • Gerpinnes , 16.XI.1986, rec. inconnu in GBIF • Gerpinnes, 10.IV.1987, rec. inconnu in GBIF • Gerpinnes (Loverval), 31.VII.2019, WargÉ L. leg . – Namur • Walcourt (Tarcienne), 15.VII.2019, WargÉ L. leg. • Walcourt (Thy-le-Château), 21.IX.2019, Gonze M. leg. • Mettet , 13.VIII.2020, WargÉ L. leg. • Walcourt (Clermont), 14.IX.2020, Sulvainmah in inaturalist.org leg. • Mettet (Biesmerée), 16.IX.2020, Coppée T. leg. • Mettet (Stave), 21.IV.2021, WargÉ L. leg. • Walcourt (Thy-le-Château), 15.VI.2021, Gonze M. leg. • Walcourt (Thy-le-Château), 02.VII.2021, Gonze M. leg.; • Mettet (Biesme), 28.VIII.2021, WargÉ L. leg [12 occur.] .
COMMENTAIRES
Dans la région étudiée ici, la coccinelle rose est perçue comme une espèce rare qui a été notamment détectée par battage d’une lisière boisée constituée d’érable sycomore ( Acer pseudoplatanus ), d’Érable champêtre ( Acer campestre ), de sureau noir ( Sambucus nigra ) et d’aubépine ( Crataegus sp. ); dans un ÉpicÉa commun ( Picea abies ) isolÉ dans un parc; sur une aubépine ( Crataegus sp. ) le long d’une voie de chemin de fer dÉsaffectÉe; dans une ancienne carrière calcaire également sur aubépine ( Crataegus sp. ), et par fauchage des Poaceae sous un alignement de cultivars de peupliers ( Populus sp. ).
Cette coccinelle est assez rÉpandue en Wallonie, mais le nombre de donnÉes annuelles est gÉnÉralement assez faible, ce qui s’explique par sa discrÉtion et ses moeurs particulières qui rendent sa dÉtection plus difficile que pour d’autres coccinelles arboricoles ( SAN MARTIN et al., 2006).
En Lorraine française, elle est assez rare À assez commune et rÉpandue en plaine ( NICOLAS, 2009a), et était commune dans le département des Ardennes du temps de DERVIN (1952). Elle est aussi assez frÉquente en Flandre ( ADRIAENS & MAES, 2004) et aux Pays-Bas ( CUPPEN et al., 2017).
Cette espèce aphidiphage est confinÉe aux strates arbustives et arborescentes, dans une large gamme d’habitats ( NICOLAS, 2009a). Cependant, le dÉveloppement larvaire s’effectue essentiellement sur les arbres et arbustes feuillus dont les peupliers ( Populus spp. ). L’hiver, les adultes se réfugient dans les habitations humaines, sous les écorces, dans les nichoirs et autres abris, souvent en compagnie d’ Adalia (Adalia) bipunctata et/ou Harmonia axyridis .
Propylea quatuordecimpunctata (Linnaeus, 1758) – Coccinelle à échiquier, coccinelle à damier
Figs 36 View Fig , 37 View Fig
162 occurrences (10,93%) - 85 carrés IFBL de 1 x 1 km (39,91%). ( Fig. 37 View Fig ).
COMMENTAIRES
Cette espèce est très commune en Wallonie ainsi que partout ailleurs en Belgique ( SAN MARTIN et al., 2006), et c’est le cas également dans toutes les régions limitrophes.
Sans surprise, cette coccinelle aphidiphage et eurytope est aussi très commune sur le territoire sambro-condrusien (classée troisième en termes de nombre d’occurrences, après Coccinella (Coccinella) septempunctata et Harmonia axyridis ) et y a été trouvée tant par battage de la végétation arbustive que par fauchage de la végétation herbacée dans une très grande variété d’habitats, tels que les parcs, les jardins, les haies, les accotements et les zones forestières.
La variété des supports est, elle aussi, très large: citons notamment le noisetier ( Corylus avellana ), le tilleul ( Tilia sp. ), le charme ( Carpinus betulus ), le hêtre commun ( Fagus sylvatica ), l’aubépine ( Crataegus sp. ), l’érable sycomore ( Acer pseudoplatanus ), le prunellier ( Prunus spinosa ), l’églantier commun ( Rosa canina ) pour les feuillus, l’épicea commun ( Picea abies ), le douglas ( Pseudotsuga menziesii ) et le mÉlèze d’Europe ( Larix decidua ) pour les conifères. Divers individus ont été récoltés par fauchage des herbacées sur les accotements, sous les clôtures de prairies, dans les ourlets herbacés le long des haies, les bords de chemin forestier mais aussi dans petites coupes à blanc forestière.
T |
Tavera, Department of Geology and Geophysics |
No known copyright restrictions apply. See Agosti, D., Egloff, W., 2009. Taxonomic information exchange and copyright: the Plazi approach. BMC Research Notes 2009, 2:53 for further explanation.