Henosepilachna argus (Geoffroy 1762)
publication ID |
https://doi.org/ 10.5281/zenodo.13258444 |
publication LSID |
lsid:zoobank.org:pub:22DF5AAF-F2FF-4095-A735-2BD381645263 |
persistent identifier |
https://treatment.plazi.org/id/03DE1860-FF88-9A29-6C2D-4BDFFD94FDDF |
treatment provided by |
Felipe |
scientific name |
Henosepilachna argus (Geoffroy 1762) |
status |
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Henosepilachna argus (Geoffroy 1762) View in CoL – Coccinelle de la bryone
Belgique. – Namur • Florennes (Morialmé), 17.V.1992, rec. inconnu in GBIF. [1 occur.]
COMMENTAIRES
Cette espèce phytophage est liée en Wallonie à la bryone dioïque ( Bryonia dioica ), une plante grimpante des ourlets nitrophiles très répandue à travers toute la région limoneuse et dans la vallée de la Meuse, mais beaucoup plus rare et localisée ailleurs, y compris dans l’Entre-Sambre- et-Meuse. Ainsi, dans le secteur étudié, la bryone a été renseignée d’une seule station depuis 1978 (O. Roberfroid, comm. pers.). Cette raretÉ suffi t donc À expliquer celle de Henosepilachna argus . Plus généralement, notons que la rareté relative de cette coccinelle par rapport à sa plante hôte demeure inexpliquée à l’échelle wallonne, selon SAN MARTIN et al. (2006). Le constat est similaire dans le département de la Manche ( LE MONNIER & LIVORY, 2003), ainsi qu’aux Pays-Bas où l’aire de répartition de cette coccinelle est nettement plus réduite que celle de la bryone ( CUPPEN et al., 2017). Cette coccinelle est en régression autant en Wallonie qu’en Flandre ( ADRIAENS et al., 2015).
No known copyright restrictions apply. See Agosti, D., Egloff, W., 2009. Taxonomic information exchange and copyright: the Plazi approach. BMC Research Notes 2009, 2:53 for further explanation.