Coelioxys mandibularis Nylander 1848
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publication ID |
https://doi.org/ 10.5281/zenodo.11588714 |
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publication LSID |
lsid:zoobank.org:pub:AF3B616C-0C53-4557-810A-65ABA6CD123F |
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DOI |
https://doi.org/10.5281/zenodo.11588821 |
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persistent identifier |
https://treatment.plazi.org/id/03F9879C-FFB7-FFEE-FF78-2DB4FAD37259 |
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treatment provided by |
Felipe |
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scientific name |
Coelioxys mandibularis Nylander 1848 |
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Coelioxys mandibularis Nylander 1848 View in CoL . Statut (Belgique): VU
Le célioxe mandibulé ( Fig. 13 View Fig ), Coelioxys mandibularis, est une abeille cleptoparasite de la famille des Megachilidae. Ses hôtes appartiennent aux genres Megachile (dont: Megachile maritima, M. versicolor, M. leachella, M. circumcincta, M. centuncularis) et Hoplitis (dont Hoplitis leucomelana). L’espèce est univoltine et vole de juin à août. Elle se procurerait du nectar sur de nombreuses espèces de plantes (PEETERS et al., 2012). Le seul spécimen capturé visitait une fleur de Geranium.
Le milieu de prédilection varie en fonction des sources. Ainsi, WESTRICH (2019) ne cite pas de préférence au niveau de l’habitat, alors que l’atlas des abeilles des Pays-Bas (PEETERS et al., 2012) mentionne les dunes côtières et les bancs de sables comme milieu de prédilection. En Belgique, le site Atlas Hymenoptera (PAULY et al., 2018 b) recense effectivement de nombreuses observations le long de la côte, bien que d’autres spécimens aient également été collectés à l’intérieur des terres. Le seul site de capture de notre échantillon est une prairie située dans le village de Spiennes (commune de Mons). Des sites sablonneux et des affleurements de craie sont présents à proximité immédiate de cet emplacement.
Les espÈces hôtes potentielles utilisent différents modes de nidification: nids creusés dans le sable, nids aménagés dans des tiges d’arbustes ou d’herbacées (Rubus, Rosa, Verbascum, Artemisia) et même hôtels à insectes (WESTRICH, 2019). Les carrières peuvent servir de zones de nidification pour les hôtes sabulicoles si des espaces de végétation éparse y sont entretenus. Pour les hôtes caulicoles, des espaces refuges sans fauchage pourraient être maintenus en alternance. Une partie des arbustes colonisant spontanément ces sites peut également être conservée.
No known copyright restrictions apply. See Agosti, D., Egloff, W., 2009. Taxonomic information exchange and copyright: the Plazi approach. BMC Research Notes 2009, 2:53 for further explanation.