Acantholepis capensis, Mayr.

Forel, A., 1891, Histoire naturelle des Hymenopteres. Deuxieme partie: Les Formicides., Histoire Physique, Naturelle et Politique de Madagascar., Paris: L'Imprimerie Nationale, pp. 1-231 : 95-97

publication ID

https://doi.org/ 10.5281/zenodo.9896

DOI

https://doi.org/10.5281/zenodo.5640471

persistent identifier

https://treatment.plazi.org/id/1B136701-AE5C-13ED-59A0-9CC9E230C5E3

treatment provided by

Donat

scientific name

Acantholepis capensis, Mayr.
status

 

Acantholepis capensis, Mayr.   HNS

Acantholepis capensis, Mayr   HNS , Verh. Zool. und Bot. Gesellsch. zu Wien (1862).

[[worker]]. Longueur 2,8 à 3,2 mill. Corps beaucoup plus court, plus robuste que chez VA. Frauenfeldi   HNS d'Europe; antennes et surtout funicules plus courts que chez cette espèce. Les funicules sont un peu renflés à l'extré- mité; leur premier article est deux fois long comme le deuxième. Mandibules avec des rides éparses. Thorax et tête très finement, faiblement et éparsément ridés, presque lisses. Deux dents obtuses au métanotum. Ecaille bidentée, fortement échancrée entre les dents. Abdomen presque lisse. Luisante. Pilosité dressée assez espacée, mais répandue sur tout le corps et bien plus abondante que chez l' A. Frauenfeldi   HNS . Scapes et tibias sans poils dressés. Noire; mandibules, antennes et pattes brunes.

[[queen]]. Longueur 5 mill. Ecaille à peine sinuée à son bord supérieur, plus épaisse que chez l' A. Frauenfeldi   HNS . Pubescence soyeuse plus faible, plus diluée que chez cette espèce; les ailes sont aussi plus courtes, enfumées de brun, comme chez l' A. Frauenfeldi   HNS .

[[male]]. Longueur 3 mill. Eparsément ponctué-ridé, avec le thorax plus densément ponctué. Pilosité dressée très éparse; pubescence médiocre. Luisant. D'un brun noir, avec les mandibules, les funicules et les tarses testacés.

Cap de Bonne-Espérance; Afrique centrale. Trouvée aussi, suivant M. André, à Madagascar et à Nosibé.

Un seul article au pédicule. Abdomen proprement dit sans rétrécisse- ment. Nymphes toujours nues. Le gésier a un calice à quatre sépales, réfléchi, entièrement situé dans la cavité du jabot, ou bien n'a pas de calice.

Chez les [[worker]] et [[queen]]: Glande à venin en partie invaginée dans la cavité de la vessie, ne forme pas de coussinet. Vessie à venin petite. Aiguillon rudimentaire, mais non transformé. Orifice du cloaque grand et transversal, non cilié, infère (sauf chez le genre Technomyrmex   HNS où il est apical). Presque toujours des glandes anales. Antennes de douze articles.

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