Tapeinosperma ellipticum Mez

Schmid, Maurice, 2012, Contribution à la connaissance des Primulaceae (ex Myrsinaceae) de Nouvelle-Calédonie. III. Les genres Tapeinosperma Hook. f. et Mangenotiella gen. nov., Adansonia (3) 34 (2), pp. 279-341 : 329-330

publication ID	https://doi.org/ 10.5252/a2012n2a7
publication LSID	lsid:zoobank.org:pub:5A91572C-743B-495C-9FC7-F8DC9BF2ACB9
DOI	https://doi.org/10.5281/zenodo.6456437
persistent identifier	https://treatment.plazi.org/id/EB41A857-1F79-FF83-FF4E-FA63FD23302B
treatment provided by	Marcus
scientific name	Tapeinosperma ellipticum Mez
status

Treatment

Tapeinosperma ellipticum Mez View in CoL

Bulletin de l’herbier Boissier, sér. 2, 5: 531 (1905).

TYPUS. — Nouvelle-Calédonie, Ou Hinna ( Colnett ), vers 800 m, fl., 7. I.1903, Schlechter 15683 (lecto-, P!, désigné ici) .

PARALECTOTYPE. — Nouvelle-Calédonie, eod. loc., vers 1000 m, fl., 15.XII.1902, Schlechter 15448 ( B, del.; P!) .

AUTRE MATÉRIEL SÉLECTIONNÉ. — L’herbier de Paris comprend une vingtaine d’échantillons, provenant tous du massif micaschisteux du Panié-Ignambi, et récoltés à altitude moyenne (300-600 m) ou relativement élevée (jusqu’à 1200 m).

Nouvelle-Calédonie. Haut Diahot , petit arbre (7 m), fl. blanches, fr., 5.IX.1951, Hürlimann 1922. — Mont Panié (contrefort N.-E.), 600 à 800 m, arbuste (2,5 m), axes infloresc.violets, fl. blanches, odorantes, 11.XI.1965, MacKee 13868 ( MO). — Haut Diahot ( Tende ), vers 600 m, arbuste (1 m) peu ramifié, axes infloresc. roses, fl. blanches, 8.IX.1982, MacKee 40764. — Mandjélia (au-dessus de Pouébo ), vers 700 m, arbuste (2 m), axes infloresc. roses, bout., 4.X.1980, McPherson 3185. — Mont Colnett , vers 1000 m, arbuste (2,5 m), fl., 29.X.2003, McPherson 19036; vers 600 m, fr., 22.VI.1971, Veillon 2308 .

OBSERVATIONS

Tapeinosperma ellipticum se reconnaît bien à ses feuilles elliptiques,relativement grandes, et à ses inflorescences multiflores, amples, en panicules trois fois ramifiées, terminales sur des rameaux latéraux assez fins, portant sur la moitié ou le tiers supérieur des petites feuilles ovées ou, au voisinage de l’inflorescence, similaires aux feuilles végétatives. Les étiquettes de collecteurs signalent très souvent la coloration rose ou violacée des axes inflorescentiels, alors que les fleurs sont décrites comme étant de teinte blanche ou rose pâle.

L’espèce, paraissant relativement commune dans toute l’étendue d’un massif très vaste, en grande partie protégé, ne semble pas aujourd’hui menacée.