Psychotria gneissica S.Moore

Barrabé, Laure, Mouly, Arnaud & Florence, Jacques, 2013, Psychotriae (Rubiaceae) neocaledonicarum specierum nomenclator, Adansonia (3) 35 (2), pp. 281-357 : 314

publication ID

https://doi.org/ 10.5252/a2013n2a6

persistent identifier

https://treatment.plazi.org/id/038A87E6-7265-A44F-FD63-FE36FF60FEF0

treatment provided by

Carolina

scientific name

Psychotria gneissica S.Moore
status

 

25. Psychotria gneissica S.Moore View in CoL

Journal of the Linnean Society, Botany 45: 341 (1921). —

Citation dans le protologue: « Ignambi; frequent in moist

forest; 3500-4200 ft.; gneiss. [Compton …] 1514 ». —

Type: Nouvelle-Calédonie. Ignambi , in moist forest ,

gneiss, 3500-4200 ft., 30.VII.1914, bt., fl., Compton 1514

(holo-, BM! [BM000895805]; iso-, P![P00632577]).

Psychotria colnettiana Guillaumin, Mémoires du Muséum national d’Histoire naturelle, série B, Botanique 8: 107 (1957), syn. nov. — Citation dans le protologue: «pentes S.-O. du Mt Colnett, 1.300 m, forêt mésohygrophile, 13/IX/1951 (Hurlimann 1.989) ». — Type: Nouvelle-Calédonie. Mt. Colnett, forêt méso-hy - grophile, 1300 m, 13.IX.1951, bt., j.fr., Hürlimann 1939 (holo-, P![P00547100 sous 1989 (sic)]; iso-, Z[image]! [Z-000023026]).

NOTES NOMENCLATURALES

L’herbier de Z comporte un spécimen d’Hürlimann sous la numérotation 1939 (Z-000023026) et semble correspondre à la même récolte que l’holotype. En observant ce dernier à P, il s’avère que quelqu’un a modifié le numéro de collecte d’Hürlimann en changeant le chiffre «3 » par «8 » sur l’étiquette d’origine qui est identique à celle de Z. Cette rectification est probablement due à une erreur de lecture par Guillaumin: confusion 1939 / 1989. Par conséquent, nous restituons sur l’holotype le numero initial d’Hürlimann (1939) et considérons la part de Zürich comme isotype. Psychotria colnettiana Guillaumin est placé comme synonyme de P. gneissica S.Moore , car similaire morphologiquement bien que le premier possède de plus petites feuilles que le second, reflétant une simple variation morphologique. Dans le protologue de P. gneissica la fleur est blanche, alors qu’elle est rouge dans celui de P. colnettiana . L’étiquette de l’holotype de P. colnettiana ne comporte cependant aucune indication de couleur et des collectes récentes de ce taxon ont permis de confirmer la couleur blanche de ses fleurs, infirmant l’observation de Guillaumin (1957). En outre, ces deux taxons partagent la même écologie (hautes altitudes sur terrains volcano-sédimentaires) et la même répartition géographique (chaîne montagneuse du nord-est de la Grande Terre).

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