Calvia quatuordecimguttata Linnaeus, 1758
publication ID |
https://doi.org/ 10.5281/zenodo.13258444 |
publication LSID |
lsid:zoobank.org:pub:22DF5AAF-F2FF-4095-A735-2BD381645263 |
persistent identifier |
https://treatment.plazi.org/id/03DE1860-FFBD-9A1E-6CB4-4DC7FDFCFAED |
treatment provided by |
Felipe |
scientific name |
Calvia quatuordecimguttata Linnaeus, 1758 |
status |
|
Calvia quatuordecimguttata Linnaeus, 1758
Figs 22 View Fig , 23 View Fig View Fig View Fig View Fig View Fig View Fig View Fig View Fig View Fig View Fig View Fig View Fig View Fig View Fig View Fig View Fig View Fig View Fig View Fig View Fig View Fig View Fig View Fig View Fig View Fig View Fig View Fig View Fig View Fig View Fig View Fig View Fig View Fig View Fig View Fig View Fig View Fig View Fig View Fig View Fig
64 occurrences (4,32%) - 47 carrés IFBL de 1 x 1 km (22,07%) ( Fig. 23 View Fig ).
COMMENTAIRES
Nos relevés ont permis de trouver C. quatuordecimguttata sur une multitude de feuillus: aubépine ( Crataegus sp. ) (n=12), érable sycomore ( Acer pseudoplatanus ) (n=6), aulne glutineux ( Alnus glutinosa ) (n=6), saule ( Salix sp. ) (n=3), bouleau verruqueux ( Betula pendula ) (n=2), bouleau pubescent ( Betula pubescens ) (n=1), chêne ( Quercus sp. ) (n=1), charme commun ( Carpinus betulus ) (n=1), prunellier ( Prunus sp inosa) (n=1), rosier ( Rosa sp. ) (n=1), buis ( Buxus sempervirens ) (n=1) et sur tilleul ( Tilia sp. ) (n=2). A signaler aussi quelques observations sur épicéa commun ( Picea abies ) (n=2), douglas ( Pseudotsuga menziesii ) (n=2) et pin sylvestre ( Pinus sylvestris ) (n=1). En outre, un spécimen a été obtenu par battage d’un chèvrefeuille des bois ( Lonicera periclymenum ) croissant sur un sorbier des oiseleurs ( Sorbus aucuparia ) (n=1), et un autre noté sur ortie dioïque ( Urtica dioica ) dans une petite clairière forestière.
Cette espèce euryèce est présente dans les milieux ouverts à forestiers, secs à humides. Sans surprise, la composante commune de toutes les stations est la présence de végétation ligneuse.
Cette coccinelle arboricole est très commune partout sur le territoire wallon ( SAN MARTIN et al., 2006) et commune en Flandre ( ADRIAENS & MAES, 2004). Elle est assez commune en Haute-Marne et en Lorraine ( NICOLAS, 2005 & 2009a), dans la Manche ( LE MONNIER & LIVORY, 2003) ainsi qu’aux Pays-Bas ( CUPPEN et al., 2017).
Aux Pays-Bas, cette coccinelle est plus commune après 2000, et cette tendance pourrait s’expliquer par l’augmentation de la superficie forestière et le vieillissement des fourrÉs dans les agglomérations ( ADRIAENS & MAES, 2004; CUPPEN et al., 2017).
Cette coccinelle s’alimente préférentiellement de psylles sur un grand nombre d’espèces d’arbres et d’arbustes feuillus avec une préférence pour les aubépines ( Crataegus spp. ) ( CUPPEN et al., 2017). Son occurrence sur les conifères n’est pas exceptionnelle (e.a. HAWKINS, 2000), mais elle concerne plutôt des individus cherchant en déplacement (supports transitoires) ou à la recherche de gîtes hivernaux.
No known copyright restrictions apply. See Agosti, D., Egloff, W., 2009. Taxonomic information exchange and copyright: the Plazi approach. BMC Research Notes 2009, 2:53 for further explanation.